Lors d'un voyage en Iran, Darius Kellner fait la connaissance de ses grands-parents et du reste de sa famille maternelle. Il rencontre Sohrab, un garçon du quartier avec qui il se lie d'amitié, et, pour la première fois de sa vie, il se sent accepté pour ce qu'il est. Pour la première fois de sa vie, Darius Kellner va se rendre en Iran et cela a le don de le mettre dans tous ses états, surtout quand il doit gérer une dépression clinique, un père désapprobateur et une vie sociale proche du néant. En Iran, il apprend à connaître son grand-père souffrant, sa grand-mère aimante et le reste de sa famille maternelle. Mais surtout, il rencontre Sohrab, le garçon du quartier qui va bouleverser sa vie. Avec lui, il apprend que des meilleurs amis n'ont pas à parler pour se comprendre. Sohrab l'appelle « Darioush » – la version perse de son prénom – et pour la première fois, Darius se sent accepté et lui-même. Mais quand l'heure de rentrer aux
Darius le Grand ne va pas bien nous plonge directement dans la tête d'un jeune de 14 ans souffrant de dépression et à la recherche de son identité. L'auteur puise dans une partie de son enfance pour nous transmettre une histoire poignante et nous faire découvrir, à travers son regard, la culture iranienne.
J'ai beaucoup aimé suivre la pensée de Darius et sa façon d'être avec les différentes personnes qui l'entourent. La relation qu’il entretient avec son père est tout aussi intéressante, très humaine et loin d’être parfaite.
Par Morgane, de la médiathèque intercommunale Gérard-Billy de Lagny-sur-Marne